Maîtriser une deuxième langue nationale et l’anglais: un facteur rentable sur le marché de travail en Suisse

Dans le cadre du débat actuel sur l’enseignement des langues en Suisse, de nombreux acteurs ont pris la parole dans les médias. Est-ce que l’apprentissage précoce des langues dès l’école primaire est inefficace, comme le suggère le résultat d’une expertise réalisée à la Haute Ecole pédagogique de Schaffhouse ? Faut-il apprendre une ou deux langues à l’école primaire ? Et quelle langue apprendre en premier ? Plutôt l’anglais – langue internationale – ou une deuxième langue nationale, voire le français en Suisse alémanique et l’allemand en Suisse romande ? Le débat bat son plein et la polémique parasite souvent les discussions bien fondées.
Retenons que pour Economiesuisse, un fait est sûre : la bonne maîtrise de l’anglais et d’une deuxième langue nationale reste un facteur de succès dans la vie professionnelle et sur le marché de travail en Suisse. Selon l’organisation faîtière de l’économie suisse « ce n’est pas l’une ou l’autre langue qu’il s’agit de maîtriser, c’est l’une ET l’autre ».

Pour en savoir plus, lisez l’article paru dans LE TEMPS (6.9.2014)